Fist of Dragon

2010 Malaisie
De Michael Chuah
Avec Michael Chuah, Fiona Xie,
Henry Thia,


A la demande de son Père, le jeune Li (Micheal Chuah) se rend chez son Oncle (Henri Thia) confronté à des difficultés financières. Peu habitué à la culture de cette ville moderne dont la population lui apparaît comme agressive et égoïste, Li envisage de rentrer chez lui, lorsqu’il découvre que les ennuis de son oncle sont surtout dus à la pègre locale et ses gangs qui terrorisent les commerçants de quartier. Li décide de rester et de faire face en espérant créer des émules parmi la population. Entre colère ou résignation les habitants devront choisir, mais l’affaire se corse lorsque Li apprend que la fille de son oncle (Fiona Xie) fait partie d’un de ces gangs. La ville plonge alors dans la tourmente.
Celui là aussi je l’attends avec ferveur. Kung fu moderne et urbain, drôle et rageur. Fist of Dragon est un melting pot de talents en provenance de toute l’Asie du Sud Est. Un véritable western contemporain mettant en scène la rébellion des habitants d’un quartier et surtout un clin d’œil au mythique Bruce Lee qui jadis donnait le change aux mafieux dans la Fureur du dragon. Un des films coup de poing de l’année.




Ce texte provient de whispering-asia, la copie intégrale est illicite!

Shaolin 2011

2010 Chine
De Benny Chan
Avec Andy Lau, Nicolas Tse,
Jackie Chan, Bingbing Fan

Pendant la période tourmentée des guerres intestines de la Chine des années 20, le général Hou Jie (Andy Lau) est un seigneur de guerre impitoyable et son cruel lieutenant Man Cao (Nicolas Tse) est un élève assidu dans l’art de la fourberie. Si bien qu’au final celui-ci provoquera la déchéance du maître. Aculé, seul et ébranlé, Hou Jie fuit et trouve refuge dans le temple de Shaolin qu’il avait par le passé souillé et saccagé.

Une des attentes de cette année 2011, produit par Andy Lau et réalisé par Benny Chan. Shaolin a tout de l’œuvre rêvée. Au programme : Andy Lau tyrannique et repentit, Nicolas Tse détestable à souhait (donc excellent interprète) , Jackie Chan en mentor cuistot, des artistes martiaux d’exceptions et surtout un message de compassion propre au kung fu du Temple de la Petite Forêt .


Un film solidement interprété et porté par des acteurs sincères, dont l’humanité et la chaleur de notre Jackie réchauffe les couleurs froides d’une très belle photographie.


Un film que l’on ne se lasse pas de revoir.


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